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le Gardien a écrit:J'imagine l'odoravision pour regarder Walkind dead
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le Gardien
Jaurel
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Les mécaniques du son et de l'image...
Jaurel- Rédacteur / Editor
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Ou pour la série Saw par exemple (Saw six représentant la plus belle expérience)
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Jaurel- Rédacteur / Editor
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Samsung ne sortira pas de téléviseurs OLED l’an prochain
Samsung annonce officiellement qu’il abandonne la technologie OLED au profit du LCD pour ses prochains téléviseurs. De son côté, LG continuera à s’investir dans la création d’écrans OLED.
L'année dernière, LG et Samsung ne cachaient pas leurs intentions de délaisser pour leurs téléviseurs la technologie OLED trop onéreuse, au profit d’un retour vers le LCD. C’est aujourd’hui par la voix de Kim Hyun-seok, le patron de la division TV, que Samsung vient d’annoncer officiellement à nos confrères de CNET.com l’arrêt de l’utilisation de cette technologie pour les prochains modèles de sa gamme.
Le constructeur devrait en revanche se concentrer sur la production de téléviseurs Ultra-HD et sur la technologie LCD Quantum Dot qui était encore difficile à maîtriser et coûteuse il y a encore peu de temps. De son côté LG ne compte finalement pas jeter l’éponge sur l’OLED. Le constructeur qui se retrouvera seul sur le marché reste confiant sur cette technologie et considère qu’elle remplacera à terme le LCD.
source CNET
Samsung annonce officiellement qu’il abandonne la technologie OLED au profit du LCD pour ses prochains téléviseurs. De son côté, LG continuera à s’investir dans la création d’écrans OLED.
L'année dernière, LG et Samsung ne cachaient pas leurs intentions de délaisser pour leurs téléviseurs la technologie OLED trop onéreuse, au profit d’un retour vers le LCD. C’est aujourd’hui par la voix de Kim Hyun-seok, le patron de la division TV, que Samsung vient d’annoncer officiellement à nos confrères de CNET.com l’arrêt de l’utilisation de cette technologie pour les prochains modèles de sa gamme.
Le constructeur devrait en revanche se concentrer sur la production de téléviseurs Ultra-HD et sur la technologie LCD Quantum Dot qui était encore difficile à maîtriser et coûteuse il y a encore peu de temps. De son côté LG ne compte finalement pas jeter l’éponge sur l’OLED. Le constructeur qui se retrouvera seul sur le marché reste confiant sur cette technologie et considère qu’elle remplacera à terme le LCD.
source CNET
Dernière édition par Jaurel le Ven 21 Nov 2014, 21:09, édité 1 fois
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Jaurel- Rédacteur / Editor
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Sony dévoile son service de vidéo en streaming PlayStation Vue sur PS4 et PS3
PlayStation Vue est le nom du nouveau service de streaming vidéo de Sony, qui sera dédié dans un premier temps aux PS3 et PS4. Il sera lancé dans un premier temps début 2015 aux États-Unis.
Sony vient d’annoncer au New York Times qu’il va lancer son propre service de streaming vidéo. Baptisé PlayStation Vue, il sortira début 2015 aux États-Unis dans un premier temps. Comme on peut le supposer, le service est associé aux consoles PS3 et PS4. Toutefois, Sony explique qu’il sera porté par la suite sur les mobiles iOS et Android et peut-être même sur les ordinateurs.
En plus de fournir 75 chaines de télévision, PlayStation Vue proposera un catalogue de films et également des émissions en direct. Au niveau du fonctionnement, le système enregistrera en ligne jusqu’à trois jours de diffusion et permettra à l’utilisateur de choisir ce qu’il souhaite conserver durant 28 jours. Pour le moment, le constructeur n’a pas révélé le tarif de l’abonnement de ce service. Sony a simplement annoncé que PlayStation Vue n'inclura pas les classiques accès à Netflix, Hulu et Youtube que l'on trouve habituellement liés à ce genre de service.
PlayStation Vue est le nom du nouveau service de streaming vidéo de Sony, qui sera dédié dans un premier temps aux PS3 et PS4. Il sera lancé dans un premier temps début 2015 aux États-Unis.
Sony vient d’annoncer au New York Times qu’il va lancer son propre service de streaming vidéo. Baptisé PlayStation Vue, il sortira début 2015 aux États-Unis dans un premier temps. Comme on peut le supposer, le service est associé aux consoles PS3 et PS4. Toutefois, Sony explique qu’il sera porté par la suite sur les mobiles iOS et Android et peut-être même sur les ordinateurs.
En plus de fournir 75 chaines de télévision, PlayStation Vue proposera un catalogue de films et également des émissions en direct. Au niveau du fonctionnement, le système enregistrera en ligne jusqu’à trois jours de diffusion et permettra à l’utilisateur de choisir ce qu’il souhaite conserver durant 28 jours. Pour le moment, le constructeur n’a pas révélé le tarif de l’abonnement de ce service. Sony a simplement annoncé que PlayStation Vue n'inclura pas les classiques accès à Netflix, Hulu et Youtube que l'on trouve habituellement liés à ce genre de service.
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Marvel Wars- Complétiste collector
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Jaurel a écrit:Samsung ne sortira pas de téléviseurs OLED l’an prochain
Samsung annonce officiellement qu’il abandonne la technologie OLED au profit du LCD pour ses prochains téléviseurs. De son côté, LG continuera à s’investir dans la création d’écrans OLED.
L'année dernière, LG et Samsung ne cachaient pas leurs intentions de délaisser pour leurs téléviseurs la technologie OLED trop onéreuse, au profit d’un retour vers le LCD. C’est aujourd’hui par la voix de Kim Hyun-seok, le patron de la division TV, que Samsung vient d’annoncer officiellement à nos confrères de CNET.com l’arrêt de l’utilisation de cette technologie pour les prochains modèles de sa gamme.
Le constructeur devrait en revanche se concentrer sur la production de téléviseurs Ultra-HD et sur la technologie LCD Quantum Dot qui était encore difficile à maîtriser et coûteuse il y a encore peu de temps. De son côté LG ne compte finalement pas jeter l’éponge sur l’OLED. Le constructeur qui se retrouvera seul sur le marché reste confiant sur cette technologie et considère qu’elle remplacera à terme le LCD.
source CNET
Tu en pense quoi de ça toi Jaurel ?
Jaurel- Rédacteur / Editor
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La technologie OLED est très, voir trop couteuse et la nouvelle technologie LED (Quantum DOT) donne des résultats bluffants voir pour certaines sources supérieurs. mais le prix ne fait pas tout, et Samsung ne peut pas courir après plusieurs lièvres à la fois. Développer une technique aboutissant à donner au full led une seconde jeunesse permet à la firme de compenser les mauvais résultats de 2013 et d'écouler les dalles misent à niveaux. Je ne veux pas bien sur tirer sur l'ambulance mais LG que je n'affectionne pourtant pas tient un discourt plus équilibré et termes de communication et sa stratégie est plus claire. Il sont actuellement en tète sur l'ultra HD 4K (le vrai) et l'oled est pour eux une vitrine luxueuse leur permettant de symboliser la réussite technique. Sony n'étant pas en reste, mais marquant le pas, Samsung jusqu'alors en tète pointe maintenant à la troisième place. Le début d'année prochaine devant marquer une grosse nouvelle en termes de diffuseur, mais ça c'est une autre histoire que je vous rapporterai bientôt.
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Marvel Wars- Complétiste collector
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Merci Jaurel 
J'espère que Samsung va se reprendre parce que que je suis un fidèle depuis toujours et j'ai pas envie de changer lol.
J'espère que Samsung va se reprendre parce que que je suis un fidèle depuis toujours et j'ai pas envie de changer lol.
Jaurel- Rédacteur / Editor
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Marvel Wars a écrit:Merci Jaurel
J'espère que Samsung va se reprendre parce que que je suis un fidèle depuis toujours et j'ai pas envie de changer lol.
Des surprises pour le début d'année
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Jaurel- Rédacteur / Editor
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L'attente de soft 4K est longue trop longue...
aujourd'hui la plupart des marques communiquent sur leurs écrans dit 4K mais tous UHD.
Alors quand est-il des supports, de ces galettes aux rayons bleus qui font défaut et qui nous manquent pour établir un jugement pertinent sur ces beaux écran voués à une utilisation limitée par défaut.
La grande question de cette fin d'année est de savoir si oui ou non nous pourrons dans un proche avenir profiter d'un nouveau standard vidéo blu-ray UHD.
La réponse est : oui, et pour fin 2015.
Alors pourquoi avoir lancé des écran UHD alors qu'aucun soft n'était à prévoir avant plusieurs années.
Rappelez vous des premiers blu-ray 3D et vous comprendrez - en effet à l'époque les éditeurs et les labos ont joués le jeu, et alors que les premiers écrans voyaient les jour, les tous premiers blu-ray étaient à disposition dans les bacs pour le résultat que nous connaissons aujourd'hui. Les éditeurs qui ont eu à connaître ce fiasco sont aujourd'hui beaucoup plus prudent.
Ils ont attendus de voir comment se comporte les ventes de ces écrans UHD avant même de prévoir les galettes que nous attendons encore aujourd'hui.
Car l'UHD ce n'est pas seulement une question de pixels supplémentaires, c'est aussi des nouveaux codecs à adaptés à la couleur qui s'affiche jusqu'à 12 bits par couleur (jusqu'alors 8 bits par couleur pour le blu-ray) sans parler de la vitesse par image (60 images/seconde pour le HFR)
l'UHD est donc beaucoup plus complexe à normaliser...
Demain je vous parle de la norme HDMI pour l'UHD et ses conséquences sur les softs.
aujourd'hui la plupart des marques communiquent sur leurs écrans dit 4K mais tous UHD.
Alors quand est-il des supports, de ces galettes aux rayons bleus qui font défaut et qui nous manquent pour établir un jugement pertinent sur ces beaux écran voués à une utilisation limitée par défaut.
La grande question de cette fin d'année est de savoir si oui ou non nous pourrons dans un proche avenir profiter d'un nouveau standard vidéo blu-ray UHD.
La réponse est : oui, et pour fin 2015.
Alors pourquoi avoir lancé des écran UHD alors qu'aucun soft n'était à prévoir avant plusieurs années.
Rappelez vous des premiers blu-ray 3D et vous comprendrez - en effet à l'époque les éditeurs et les labos ont joués le jeu, et alors que les premiers écrans voyaient les jour, les tous premiers blu-ray étaient à disposition dans les bacs pour le résultat que nous connaissons aujourd'hui. Les éditeurs qui ont eu à connaître ce fiasco sont aujourd'hui beaucoup plus prudent.
Ils ont attendus de voir comment se comporte les ventes de ces écrans UHD avant même de prévoir les galettes que nous attendons encore aujourd'hui.
Car l'UHD ce n'est pas seulement une question de pixels supplémentaires, c'est aussi des nouveaux codecs à adaptés à la couleur qui s'affiche jusqu'à 12 bits par couleur (jusqu'alors 8 bits par couleur pour le blu-ray) sans parler de la vitesse par image (60 images/seconde pour le HFR)
l'UHD est donc beaucoup plus complexe à normaliser...
Demain je vous parle de la norme HDMI pour l'UHD et ses conséquences sur les softs.
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Moi ce qui me fait peur avec ça c'est qu'ils recommencent à sortir tous les anciens films en 4K.
Ça fait des années que je me battis une collection de Blu Ray ça me ferrait chier qu'ils deviennent tous "obsolète" du jour au lendemain avec une ressortie en meilleure qualité. Pour les films très récent ok mais les anciens c'est bon quoi...
Ça fait des années que je me battis une collection de Blu Ray ça me ferrait chier qu'ils deviennent tous "obsolète" du jour au lendemain avec une ressortie en meilleure qualité. Pour les films très récent ok mais les anciens c'est bon quoi...
Jaurel- Rédacteur / Editor
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ce fut le cas pour les VHS avec la sortie des lasers disques (LD) et pour les DVD qui les ont remplacés, et enfin avec les blu-ray... pourquoi changer une équipe qui gagne ? __________________________________________________
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Jaurel- Rédacteur / Editor
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Alors reprenons, là ou je vous ai laissé.
Les constructeurs ont choisi la prudence, et une évolution en plusieurs phases. Exemple du premier estampillé faussement 4K et connectique HDMI 1.4. trouvez l'erreur. nous étions début 2013. Risible ? oui, mais cher pour le porte-monnaie !
Dire aujourd'hui que nous pouvons nous réjouir d'une nouvelle norme HDMI 2.0 et que tous les problème sont résolus.
Non car la norme 2.0 n'apporte pas en termes de spécification LA solution. Juste un constat prouvant du flou des constructeurs qui ménagent les consommateurs perdus entre les normes les logos et les compatibilités.
Alors quand est-il du HDCP 2.2 - Une nouvelle connectique capable de supporter 60i/s et la protection anti-copie, pour le reste tout est à faire. Et il vous faudra vous armer de patience
Les évolutions se feront au goutte à goutte pour aboutir lentement mais surement vers le nouveau format vidéo blu-ray UHD. Il faut donc générer l'espoir en ménageant le le consommateur en se rappelant qu'avant de pouvoir lire un blu-ray nouvelle génération UHD encore faut-il inventer le lecteur adéquat. Et précisément c'est là que les afaires se compliques. rappellez vous du prix du premier lecteur blu-ray... environ 1700 €. il faudra aussi penser à tous ceux qui ne pourront ou ne voudront pas franchir cette évolution. la rétro-compatibilité devra être à la hauteur pour ne pas faire de nos collections des nouveaux déserts obsolètes.
Ce que je peux vous dire c'est que la 3D restera pour le moment sur support full HD.
Tout est donc sur la table, et les propositions de toutes parts font les beaux jours d'une spéculation hasardeuse.
L'ultra HD c'est donc aujourd'hui 4 fois plus de pixels, pas de disque à lire, pas de lecteur, mais des idées, et ça c'est bon pour le rêve...
Les constructeurs ont choisi la prudence, et une évolution en plusieurs phases. Exemple du premier estampillé faussement 4K et connectique HDMI 1.4. trouvez l'erreur. nous étions début 2013. Risible ? oui, mais cher pour le porte-monnaie !
Dire aujourd'hui que nous pouvons nous réjouir d'une nouvelle norme HDMI 2.0 et que tous les problème sont résolus.
Non car la norme 2.0 n'apporte pas en termes de spécification LA solution. Juste un constat prouvant du flou des constructeurs qui ménagent les consommateurs perdus entre les normes les logos et les compatibilités.
Alors quand est-il du HDCP 2.2 - Une nouvelle connectique capable de supporter 60i/s et la protection anti-copie, pour le reste tout est à faire. Et il vous faudra vous armer de patience
Les évolutions se feront au goutte à goutte pour aboutir lentement mais surement vers le nouveau format vidéo blu-ray UHD. Il faut donc générer l'espoir en ménageant le le consommateur en se rappelant qu'avant de pouvoir lire un blu-ray nouvelle génération UHD encore faut-il inventer le lecteur adéquat. Et précisément c'est là que les afaires se compliques. rappellez vous du prix du premier lecteur blu-ray... environ 1700 €. il faudra aussi penser à tous ceux qui ne pourront ou ne voudront pas franchir cette évolution. la rétro-compatibilité devra être à la hauteur pour ne pas faire de nos collections des nouveaux déserts obsolètes.
Ce que je peux vous dire c'est que la 3D restera pour le moment sur support full HD.
Tout est donc sur la table, et les propositions de toutes parts font les beaux jours d'une spéculation hasardeuse.
L'ultra HD c'est donc aujourd'hui 4 fois plus de pixels, pas de disque à lire, pas de lecteur, mais des idées, et ça c'est bon pour le rêve...
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Marvel Wars- Complétiste collector
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Jaurel a écrit:
Ben oué je sais bien mais ça me soule c'est beaucoup trop tôt je trouve
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Les tournages en 3D natifs...
Aujourd'hui les tournages en 3D natifs sont rares, très rares. Le 3D convertie est donc retenue en post-production pour nous présenter des spectacles vidéo à la pointe d'une technologie annoncée mais pas respectée.
Le dernier Transformer 4 en bénéficie, et le dernier opus de la planète des singes, (l'affrontement) aussi.
Alors la question est de savoir si nous sommes capables de savoir à la seule vue d'une projection Blu-ray de faire la différence. Pour cela encore faut-il en connaître les différences non ?
Les moyens de production sont un premier indice. Un tournage 3D natif impacte très sensiblement le cout du film. En second il faut savoir qu'une prise de vue en 3D natif nécessite plusieurs caméras en action en même temps. Les reflets parasites sont souvent ce qui peut trahir un tournage natif en 3D. Pourquoi ? Parce que l'espacement des caméra induit ces reflets entrant dans le visionnage avec lunettes 3D actives. Ces reflets sont différents selon l'oeil directionnel du spectateur.
De plus, sachez que Même Mr Cameron pour son Avatar a fait appel à la conversion sur certaines scènes...
Aujourd'hui les tournages en 3D natifs sont rares, très rares. Le 3D convertie est donc retenue en post-production pour nous présenter des spectacles vidéo à la pointe d'une technologie annoncée mais pas respectée.
Le dernier Transformer 4 en bénéficie, et le dernier opus de la planète des singes, (l'affrontement) aussi.
Alors la question est de savoir si nous sommes capables de savoir à la seule vue d'une projection Blu-ray de faire la différence. Pour cela encore faut-il en connaître les différences non ?
Les moyens de production sont un premier indice. Un tournage 3D natif impacte très sensiblement le cout du film. En second il faut savoir qu'une prise de vue en 3D natif nécessite plusieurs caméras en action en même temps. Les reflets parasites sont souvent ce qui peut trahir un tournage natif en 3D. Pourquoi ? Parce que l'espacement des caméra induit ces reflets entrant dans le visionnage avec lunettes 3D actives. Ces reflets sont différents selon l'oeil directionnel du spectateur.
De plus, sachez que Même Mr Cameron pour son Avatar a fait appel à la conversion sur certaines scènes...
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DOLBY ATMOS et AURO 3D la différence...
L'ingénieur du son dont la mission est de créer des "objets sonores" à la disposition du réalisateur à fin de combler ou de suppléer à des manques dans la bande son originale, déplace donc ces "objets", Hélicoptère passant au dessus de vos tètes, goutes de pluie éclatant sur la véranda... pour notre plus grand plaisir. S'agissant donc d'ajouts, d'entrées sorties mixées au meilleurs des positions par canal ciblé pour un effet voulu.
L'AURO 3D décompose la scène sonore existante en 3 demi sphères, avec 2 enceintes de sol, 2 enceintes hautes, et enfin une zone au dessus de la tète des spectateurs. Le sentiment d'enveloppement est aussi garanti avec ce traitement, qui n'ajoute rien en terme "d'objet" supplémentaire mais se contente de donner un relief différent à votre installation H.C.
L'ingénieur du son dont la mission est de créer des "objets sonores" à la disposition du réalisateur à fin de combler ou de suppléer à des manques dans la bande son originale, déplace donc ces "objets", Hélicoptère passant au dessus de vos tètes, goutes de pluie éclatant sur la véranda... pour notre plus grand plaisir. S'agissant donc d'ajouts, d'entrées sorties mixées au meilleurs des positions par canal ciblé pour un effet voulu.
L'AURO 3D décompose la scène sonore existante en 3 demi sphères, avec 2 enceintes de sol, 2 enceintes hautes, et enfin une zone au dessus de la tète des spectateurs. Le sentiment d'enveloppement est aussi garanti avec ce traitement, qui n'ajoute rien en terme "d'objet" supplémentaire mais se contente de donner un relief différent à votre installation H.C.
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DARBEE
La société américaine au boitier magique vient d'en finaliser une nouvelle version améliorée, la DVP-5100CE.
Un rêve pour beaucoup de passionnés...
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DarbeeVision , Inc., un pionnier dans le domaine de l'amélioration de l'image numérique médicale et militaire et maintenant video, est sur le point de faire des problèmes d'interopérabilité avec HDMI une chose du passé. La société a conclu un partenariat avec phaseHD , et intégrera prochainnement la technologie primée de phaseHD (meilleur nouveau produit, CEDIA 2013) dans sa famille de processeurs vidéo DarbeeVision . La solution résultante agira comme un dispositif de réparation, d'amélioration de l'interopérabilité avec un signal propre, et plus de doubler la distance maximale prévue par les câbles, cela permettra d'avoir un cable de 30M en hdmi 1.4 ou ultérieur, par exemple et de n'avoir aucune perte de signal même à 30 mètres.
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Les principales caractéristiques de la technologie de phaseHD
La société américaine au boitier magique vient d'en finaliser une nouvelle version améliorée, la DVP-5100CE.
Un rêve pour beaucoup de passionnés...
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DarbeeVision , Inc., un pionnier dans le domaine de l'amélioration de l'image numérique médicale et militaire et maintenant video, est sur le point de faire des problèmes d'interopérabilité avec HDMI une chose du passé. La société a conclu un partenariat avec phaseHD , et intégrera prochainnement la technologie primée de phaseHD (meilleur nouveau produit, CEDIA 2013) dans sa famille de processeurs vidéo DarbeeVision . La solution résultante agira comme un dispositif de réparation, d'amélioration de l'interopérabilité avec un signal propre, et plus de doubler la distance maximale prévue par les câbles, cela permettra d'avoir un cable de 30M en hdmi 1.4 ou ultérieur, par exemple et de n'avoir aucune perte de signal même à 30 mètres.
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Caractéristiques Techniques:
- Technologie de phaseHD permet une plus grande portée sur le signal HDMI et une meilleure interopérabilité entre la source et l'affichage
- Connecteur USB 1.0 pour les futures mise à jour logicielle
- Entrée et Sortie HDMI à l'arrière de l'appareil
- Extension IR et télécommande (inclus)
- LED à intensité réglable: Vidéo, Alimentation, Traitement
- Deep color, 30-bit 4:4:4
- HDMI 1.4 compatible 3D
- 3 modes de réglages :Hi-Definition, Gaming et Full Pop identique au précédent modèle
Autres Informations:
- Installation facilitée
- Configuration facilitée
- Simplicité d'utilisation
- Rackable - 19” x 1U , poidsTBD
- HDMI 1.4 conforme pour la haute fidélité également
Applications - HDMI :
- Amélioration importantes de la netteté de l'image Blu-ray peu importe le Blu-ray
- Les Jeux Vidéo sont plus immersifs du essentiellement à la netteté accrue
- Amélioration notable de la qualité pour la télévision numérique
- Augmentation de qualité pour le Cable/Satellite
- Augmentation de qualité pour le rendu vidéo des SmartPhones et Tablettes
- Augmentation de qualité pour le rendu vidéo de la télévision par ADSL ou par Câble
- Augmentation importante de la qualité du rendu vidéo sur les vidéoprojecteurs tous types (LCD/DLP/D-iLA/SXRD/TRIDLP).
Les principales caractéristiques de la technologie de phaseHD
- Plus haut niveau de l'interopérabilité par l'encapsulation du signal, pour les signaux à basse et haute vitesse,
- Véritable Longue portée de 10.2Gbps (3.4Gb par canal) conformité HDMI,
- Capacités Futures à 18Gbps (6.0Gbps par canal),
- Plug and Play, ne nécessitant aucune configuration manuelle et pas de longueur / type de dépendance,
- Convient pour les installations nouvelles et anciennes sans changer de câble.
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Les sources ultra HD
Comme lors du passage à la HD (haute définition) l'utra HD nécessite de faire de nouveaux masters. Pas tant pour les rares films ou concerts récents filmés et post-produits en 4K, mais pour tous les autres. Le 35 mm permet techniquement de produire un master en 4K.
Néanmoins, un gros travail de restauration peut s'avérer nécessaire en fonction du niveau de grain et de l'état de la pellicule, car le piqué extrême du rendu à l'écran peut agir comme une loupe. Et ce travail de fourmi,couteux à la fois en moyens techniques et en temps, risque d'écarter nombre de candidats. D'autant qu'il ne peut s'appuyer sur une restauration antérieure, en SD ou HD : il faut repartir à zéro. A ce travail technique , le WCG et surtout le HDR, optionnel, ajoutent une couche artistique car il s'agit alors de de retravailler le couleur du film, et surtout sa dynamique. Un processus toutefois nettement plus rapide qu'une conversion 3D, par exemple. Et pour autant assez spectaculaire. le coloriste d'Exodus , Stephen Nakamura , s'est ainsi dit très impressionné par le rendu HDR de son travail, visualisé sur un modèle préliminaire d téléviseur Samsung SUHD, c'est à dire avec HDR pour la dynamique de l'image et WCG pour une palette de couleurs étendue.
A l'avenir des films devraient directement être étalonnés pour les salles en HDR, notamment avec le nouveau standard DOLBY CINEMA.
Dolby compte équiper les salles certifiées Dolby Cinéma avec des projecteurs HDR à lampe laser.
Sources : Les Années Laser
Comme lors du passage à la HD (haute définition) l'utra HD nécessite de faire de nouveaux masters. Pas tant pour les rares films ou concerts récents filmés et post-produits en 4K, mais pour tous les autres. Le 35 mm permet techniquement de produire un master en 4K.
Néanmoins, un gros travail de restauration peut s'avérer nécessaire en fonction du niveau de grain et de l'état de la pellicule, car le piqué extrême du rendu à l'écran peut agir comme une loupe. Et ce travail de fourmi,couteux à la fois en moyens techniques et en temps, risque d'écarter nombre de candidats. D'autant qu'il ne peut s'appuyer sur une restauration antérieure, en SD ou HD : il faut repartir à zéro. A ce travail technique , le WCG et surtout le HDR, optionnel, ajoutent une couche artistique car il s'agit alors de de retravailler le couleur du film, et surtout sa dynamique. Un processus toutefois nettement plus rapide qu'une conversion 3D, par exemple. Et pour autant assez spectaculaire. le coloriste d'Exodus , Stephen Nakamura , s'est ainsi dit très impressionné par le rendu HDR de son travail, visualisé sur un modèle préliminaire d téléviseur Samsung SUHD, c'est à dire avec HDR pour la dynamique de l'image et WCG pour une palette de couleurs étendue.
A l'avenir des films devraient directement être étalonnés pour les salles en HDR, notamment avec le nouveau standard DOLBY CINEMA.
Dolby compte équiper les salles certifiées Dolby Cinéma avec des projecteurs HDR à lampe laser.
Sources : Les Années Laser
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D-Box : à la maison
Vous avez craqué pour un téléviseur Full HD, un Ampli HD, un kit d'enceintes de salon et un bon lecteur Blu-Ray ? C'est très bien, mais ce n'est pas encore suffisant pour avoir le meilleur du home cinéma et impressionner les demoiselles.
Tom's Guide publie ainsi un test du D-Box, le procédé de cinéma à retour de force dont nous avions parlé l'an dernier lorsque Disney a annoncé son intention de supporter le format sur ses Blu-Ray[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]. Le système exige bien sûr d'avoir un fauteuil monté sur vérins, fourni par le fabriquant canadien. Un ensemble D-BOX coûte ainsi autour de 16.000 €, avec 12.000 € pour un fauteuil et 4.000 € pour le boîtier contrôleur.
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Vous avez craqué pour un téléviseur Full HD, un Ampli HD, un kit d'enceintes de salon et un bon lecteur Blu-Ray ? C'est très bien, mais ce n'est pas encore suffisant pour avoir le meilleur du home cinéma et impressionner les demoiselles.
Tom's Guide publie ainsi un test du D-Box, le procédé de cinéma à retour de force dont nous avions parlé l'an dernier lorsque Disney a annoncé son intention de supporter le format sur ses Blu-Ray[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]. Le système exige bien sûr d'avoir un fauteuil monté sur vérins, fourni par le fabriquant canadien. Un ensemble D-BOX coûte ainsi autour de 16.000 €, avec 12.000 € pour un fauteuil et 4.000 € pour le boîtier contrôleur.
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Un concurrent à D-Box pour les fauteuils à simulation de mouvements
D-Box s’est fait une place de choix dans le home cinema avec ses simulateurs de mouvement à fixer sur un canapé. Le mouvement est orchestré par un programme qui court en simultané de la lecture du DVD que l’on regarde : le programme contient tous les ordres de mouvements correspondants aux « effets » du film. Les vérins destinés à simuler les mouvements sont vendus seuls pour être fixés sur son canapé préféré. Des modèles prêts à l’emploi sont également développés en partenariat avec des fabricants de fauteuils.
Armed Chair vient concurrencer D-Box avec un fauteuil fonctionnant sur le même principe, le Sybaris. A priori, Armed Chair, une société anglaise, utiliserait son propre système et il n’est fait mention à aucun moment de D-Box sur leur site web. Le Sybaris est disponible dans 83 coloris avec deux types de cuir au choix. Les tarifs commencent à 10499 € hors contrôleur (qui va lire les programmes de simulation) et autres options. Le prix est peut-être excessif mais le Sybaris trouvera sûrement sa cible qui ne regarde pas trop à la dépense et qui adore ce genre de « gadget ».
Source : w3sh
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Jaurel- Rédacteur / Editor
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ULTRA HD OU-ES TU ?
OK, pour ce qui est des téléviseurs , la réponse est : partout. Ca n'est pas l'offre qui manque. Mais en ce qui concerne les programmes c'est en revanche plus limité, car l'ultra HD blu-ray n'est pas encore sorti. En attendant, c'est du côté d'internet que se concentre toute l'offre. En programmes gratuits et de démonstrations, vous pouvez trouver quelques petits clips sympathiques sur youtube, notamment, de Stephen Low, voire des extraits du dernier Roland Garros. Attention, le décodeur youtube de votre TV UHD/4K doit supporter le codec VP9 utilisé par la plateforme, sans quoi vous serez limité à une résolution full HD tout au plus. Côté payant, Netflix, a aujourd'hui en France par la force des choses le monopole de l'offre (d'autres pourraient tout à fait se lancer, mais ne le font pas).
Sur téléviseur UHD intégrant la dernière version du player Netflix, a vec un abonnement à 11,99 euros par mois (l'option la plus chère) et un bon débit internet, vous avez accès au moment ou l'articlle est mis sous presse, à un catalogue de 10 séries tournées ou remastérisées en UHD, soit 178 épisodes d'une heure chacun environ, avec des titres comme "Blacklist, Breaking Bad, Sense8, Dardevil, ou bien encore Marco Polo. La très belle image délivrée (remarquable gestion de la compression, ... quand le débit suit, s'accompagne systématiquement d'un son V.O ou V.F 5.1 encodé en "Dolby Digital Plus" (souvent converti en simple Dolby Digital), parfois très inventif comme ce panoramique de voix à 360° remarqué sur un épisode de Dardevil. Le catalogue s'enrichit d'une nouvelle série UHD par mois environ.
A noter que Canal + proposera à la rentrée de l'ultra HD sur certains programmes de Canal+ à la demande, mais toutefois seulement sur les TV Samsung UHD.
Source : Les années Laser
OK, pour ce qui est des téléviseurs , la réponse est : partout. Ca n'est pas l'offre qui manque. Mais en ce qui concerne les programmes c'est en revanche plus limité, car l'ultra HD blu-ray n'est pas encore sorti. En attendant, c'est du côté d'internet que se concentre toute l'offre. En programmes gratuits et de démonstrations, vous pouvez trouver quelques petits clips sympathiques sur youtube, notamment, de Stephen Low, voire des extraits du dernier Roland Garros. Attention, le décodeur youtube de votre TV UHD/4K doit supporter le codec VP9 utilisé par la plateforme, sans quoi vous serez limité à une résolution full HD tout au plus. Côté payant, Netflix, a aujourd'hui en France par la force des choses le monopole de l'offre (d'autres pourraient tout à fait se lancer, mais ne le font pas).
Sur téléviseur UHD intégrant la dernière version du player Netflix, a vec un abonnement à 11,99 euros par mois (l'option la plus chère) et un bon débit internet, vous avez accès au moment ou l'articlle est mis sous presse, à un catalogue de 10 séries tournées ou remastérisées en UHD, soit 178 épisodes d'une heure chacun environ, avec des titres comme "Blacklist, Breaking Bad, Sense8, Dardevil, ou bien encore Marco Polo. La très belle image délivrée (remarquable gestion de la compression, ... quand le débit suit, s'accompagne systématiquement d'un son V.O ou V.F 5.1 encodé en "Dolby Digital Plus" (souvent converti en simple Dolby Digital), parfois très inventif comme ce panoramique de voix à 360° remarqué sur un épisode de Dardevil. Le catalogue s'enrichit d'une nouvelle série UHD par mois environ.
A noter que Canal + proposera à la rentrée de l'ultra HD sur certains programmes de Canal+ à la demande, mais toutefois seulement sur les TV Samsung UHD.
Source : Les années Laser
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Jaurel- Rédacteur / Editor
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Votre TV sera-t-elle obsolète en 2016 ? (et si oui, la solution à 25 euros pour la sauver)
Dans son rapport annuel sur le marché de l'électronique grand public, le cabinet GfK a mis en garde contre l'obsolescence programmée de quelque 13 millions de TV (29 % des téléviseurs du parc installé en France). Explication et solution.
► Pourquoi mon "vieux" téléviseur pourrait être obsolète en 2016 ?
Parce que l'année prochaine sera marquée par l'abandon d'une double norme dans la diffusion de la TNT. Aujourd'hui, deux types de compression vidéo coexistent : MPEG-2 et MPEG-4 (encodage de meilleure qualité et moins gourmand en ressources). A compter de 2016, seul ce dernier type d'encodage sera désormais utilisé. Cela permettra de libérer de la bande passante sur les fréquences des 700 MHz dont l'espace sera réattribué aux opérateurs mobiles pour la 4G. Les téléviseurs compatibles uniquement avec le MPEG-2 pourraient donc ne plus recevoir la TNT.
► Comment avoir si sa TV est concernée par ce changement de compression vidéo ?
Ce sont généralement les télévisions antérieures à 2008 qui sont susceptibles d'être concernées par cette obsolescence programmée. Tout comme certains téléviseurs de moins de 26 pouces commercialisés jusqu'en 2009 qui peuvent également ne pas être compatibles avec la norme MPEG-4. Les postes estampillés "HD TV" le sont. Pour vérifier si votre TV fonctionnera encore avec la TNT, il faut regarder la date d'achat de votre écran plat et fouiller un peu dans le mode d'emploi pour regarder avec quelles normes votre poste est compatible. Cela est forcément indiqué. SI vous l'avez acheté après 2012, aucun doute possible : il fonctionnera encore parfaitement en 2016.
► Un test simple pour vérifier la compatibilité
Un petit test permet aussi d'en avoir le cœur net : assurez-vous que votre TV n'est ni reliée à une box (Internet, câble ou satellite) ni reliée à un décodeur TNT mais directement à votre antenne-râteau. Allumez-la et zappez sur une chaîne qui diffuse en HD (Arte par exemple). Si votre TV affiche le flux avec le petit logo Arte HD en haut à droite de l'image, c'est qu'elle est compatible. Sinon… passez au point suivant.
► Si ma TV n'est pas compatible MPEG-4, je n'ai plus qu'à la jeter ?
Non ! Aucune obligation. Car il existe plusieurs solutions simples pour que le poste continue à fonctionner normalement, TNT incluse.
- Les box Internet : tout d'abord, il faut savoir que les box sauveront votre vieille TV. Qu'il s'agisse d'une box Internet, câble ou satellite, elles servent toutes de décodeur. 55 % des foyers français sont donc potentiellement à l'abri (à condition d'avoir connecté cet écran plat ancien à la box, ce qui n'est pas toujours le cas dans le cas d'un appareil secondaire).
- Les décodeurs TNT : ils peuvent aussi vous sauver la mise. Soit il n'est pas trop ancien et sera compatible MPEG-4 (à vérifier dans la notice), soit vous pourrez en acheter un nouveau pour une vingtaine d'euros (tapez "Tuner TNT HD" sur un site marchand comme Amazon, CDiscount ou Pixmania, par exemple). Au besoin, il faudra acheter en sus un adaptateur de prise péritel - HDMI si votre téléviseur ne possède pas cette nouvelle connectique (3-5 euros).
► Puis-je recevoir une aide financière ?
A l'heure actuelle, non. Mais d'ici quelques mois, l'Etat devrait mettre en place une aide financière (soumise à condition). C'est en tout cas ce qu'indiquait le gouvernement il y a quelques mois : "un plan sera mis en place pour accompagner l'arrêt de la diffusion en MPEG-2 afin qu'aucun foyer ne souffre d'un écran noir à l'occasion de cette mutation." Patience donc.
TÉLÉVISION - 10 millions de TV pourraient ne plus être compatibles avec la TNT en 2016 ? Pourquoi cette obsolescence programmée et comment éviter de jeter sa TV à la poubelle ? Explications.
Dans son rapport annuel sur le marché de l'électronique grand public, le cabinet GfK a mis en garde contre l'obsolescence programmée de quelque 13 millions de TV (29 % des téléviseurs du parc installé en France). Explication et solution.
► Pourquoi mon "vieux" téléviseur pourrait être obsolète en 2016 ?
Parce que l'année prochaine sera marquée par l'abandon d'une double norme dans la diffusion de la TNT. Aujourd'hui, deux types de compression vidéo coexistent : MPEG-2 et MPEG-4 (encodage de meilleure qualité et moins gourmand en ressources). A compter de 2016, seul ce dernier type d'encodage sera désormais utilisé. Cela permettra de libérer de la bande passante sur les fréquences des 700 MHz dont l'espace sera réattribué aux opérateurs mobiles pour la 4G. Les téléviseurs compatibles uniquement avec le MPEG-2 pourraient donc ne plus recevoir la TNT.
► Comment avoir si sa TV est concernée par ce changement de compression vidéo ?
Ce sont généralement les télévisions antérieures à 2008 qui sont susceptibles d'être concernées par cette obsolescence programmée. Tout comme certains téléviseurs de moins de 26 pouces commercialisés jusqu'en 2009 qui peuvent également ne pas être compatibles avec la norme MPEG-4. Les postes estampillés "HD TV" le sont. Pour vérifier si votre TV fonctionnera encore avec la TNT, il faut regarder la date d'achat de votre écran plat et fouiller un peu dans le mode d'emploi pour regarder avec quelles normes votre poste est compatible. Cela est forcément indiqué. SI vous l'avez acheté après 2012, aucun doute possible : il fonctionnera encore parfaitement en 2016.
► Un test simple pour vérifier la compatibilité
Un petit test permet aussi d'en avoir le cœur net : assurez-vous que votre TV n'est ni reliée à une box (Internet, câble ou satellite) ni reliée à un décodeur TNT mais directement à votre antenne-râteau. Allumez-la et zappez sur une chaîne qui diffuse en HD (Arte par exemple). Si votre TV affiche le flux avec le petit logo Arte HD en haut à droite de l'image, c'est qu'elle est compatible. Sinon… passez au point suivant.
► Si ma TV n'est pas compatible MPEG-4, je n'ai plus qu'à la jeter ?
Non ! Aucune obligation. Car il existe plusieurs solutions simples pour que le poste continue à fonctionner normalement, TNT incluse.
- Les box Internet : tout d'abord, il faut savoir que les box sauveront votre vieille TV. Qu'il s'agisse d'une box Internet, câble ou satellite, elles servent toutes de décodeur. 55 % des foyers français sont donc potentiellement à l'abri (à condition d'avoir connecté cet écran plat ancien à la box, ce qui n'est pas toujours le cas dans le cas d'un appareil secondaire).
- Les décodeurs TNT : ils peuvent aussi vous sauver la mise. Soit il n'est pas trop ancien et sera compatible MPEG-4 (à vérifier dans la notice), soit vous pourrez en acheter un nouveau pour une vingtaine d'euros (tapez "Tuner TNT HD" sur un site marchand comme Amazon, CDiscount ou Pixmania, par exemple). Au besoin, il faudra acheter en sus un adaptateur de prise péritel - HDMI si votre téléviseur ne possède pas cette nouvelle connectique (3-5 euros).
► Puis-je recevoir une aide financière ?
A l'heure actuelle, non. Mais d'ici quelques mois, l'Etat devrait mettre en place une aide financière (soumise à condition). C'est en tout cas ce qu'indiquait le gouvernement il y a quelques mois : "un plan sera mis en place pour accompagner l'arrêt de la diffusion en MPEG-2 afin qu'aucun foyer ne souffre d'un écran noir à l'occasion de cette mutation." Patience donc.
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USB Type-C : ce qu'il faut savoir, les confusions à éviter
Le connecteur USB Type-C a été dévoilé il y a un an, puis ratifié il y a six mois, mais il commence à se concrétiser ce mois-ci et devrait rapidement se démocratiser. L'occasion de revenir sur certaines subtilités et de devancer quelques confusions potentielles.
Les normes recèlent souvent des subtilités qui risquent d'échapper aux profanes, en particulier dans le domaine de la connectique. En substance, il convient de distinguer le connecteur, c'est-à-dire la forme de la prise, de l'interface, c'est-à-dire du protocole de communication.
Il faut dire que nous sommes les premiers, les médias spécialisés, à faire perdurer des abus de langage pour ne pas dérouter nos lecteurs. Ainsi, on parlait parfois de « port VGA », alors que les signaux VGA pouvaient emprunter un connecteur D-Sub DE-15, dans la plupart des cas, mais aussi parfois cinq fiches BNC. Plus contemporain : la notion de « HDMI » désigne à la fois le connecteur et l'« interface multimédia haute définition ». La sortie MHL de certains smartphones par exemple transmet un signal HDMI (entre autres) au travers de connecteurs USB.
Pour en revenir à l'USB, le Type-C ne désigne que le connecteur. Il a certes été conçu conjointement à l'USB 3.1, et par le même USB 3.0 Promoter Group, mais de nombreux appareils à ports USB C seront seulement USB 3.0 voire USB 2.0 ou même USB 1.1. Un DAC audio par exemple n'a pas besoin de plus.
Le connecteur USB Type-C, de taille unique, succède aux trois tailles d'USB Type-A et Type-B (micro, mini et plein format). De taille comparable à un connecteur micro USB Type-A, l'USB C apporte donc un nivellement par le bas en termes d'encombrement. Il contribue ainsi à la conception d'ordinateurs portables ultrafins.
Il est aussi et surtout réversible : on peut le brancher indifféremment dans un sens ou dans l'autre. Il a en revanche toujours un genre, mâle ou femelle.
Le connecteur USB C comporte enfin plus de contacts, ce qui ouvre la voie à d'autres innovations.
L'USB 3.1 entraîne effectivement une hausse de débit, mais on peut bénéficier de la bande passante portée de 5 à 10 Gb/s avec de traditionnels connecteurs USB Type-A à 11 broches. La nouvelle norme USB Power Delivery 2.0 quant à elle, qui porte à 100 W l'électricité qu'on peut délivrer en USB, s'accommode elle aussi d'un connecteur USB A. Elle rend par ailleurs l'alimentation électrique bidirectionnelle : un transformateur peut alimenter un ordinateur portable et un ordinateur portable peut alimenter un périphérique externe au travers d'un même port.
Mais la dernière innovation, la plus significative, réclame des broches supplémentaires. L'USB Type-C apporte l'Alternate Mode, qui permet de réattribuer les broches des quatre canaux d'un connecteur pour établir toutes sortes de liaisons. Il rend la connectique USB réellement universelle. À date, la VESA a officialisé le DisplayPort Alternate Mode, qui permet donc de diffuser un signal audio-vidéo sur un câble à connecteurs USB C.
Relevons pour conclure un piège potentiel, celui de l'« USB 3.1 Gen 1 », qui bénéficie de toutes les innovations précitées, mais qui exploite le même protocole de transfert de données que l'USB 3.0, et plafonne à 5 Gb/s.
Le meilleur moyen d'identifier le débit sera de se référer à la terminologie suivante : SuperSpeed pour 5 Gb/s et SuperSpeedPlus pour l'USB 3.1 Gen 2 à 10 Gb/s.
Quoi qu'il en soit, l'USB reste fidèle au principe de rétrocompatibilité. Sur le plan logique on peut brancher un équipement USB 1.1 à une interface USB 3.1, mais sur le plan physique il faudra parfois utiliser des adaptateurs passifs pour passer de l'USB A à l'USB C. C'est néanmoins une première pour l'USB, créé il y a près de 20 ans (en 1996), et donc le début de la première phase transitoire de cette connectique, qui risque de s'étaler sur plusieurs années.
Le connecteur USB Type-C a été dévoilé il y a un an, puis ratifié il y a six mois, mais il commence à se concrétiser ce mois-ci et devrait rapidement se démocratiser. L'occasion de revenir sur certaines subtilités et de devancer quelques confusions potentielles.
Les normes recèlent souvent des subtilités qui risquent d'échapper aux profanes, en particulier dans le domaine de la connectique. En substance, il convient de distinguer le connecteur, c'est-à-dire la forme de la prise, de l'interface, c'est-à-dire du protocole de communication.
Il faut dire que nous sommes les premiers, les médias spécialisés, à faire perdurer des abus de langage pour ne pas dérouter nos lecteurs. Ainsi, on parlait parfois de « port VGA », alors que les signaux VGA pouvaient emprunter un connecteur D-Sub DE-15, dans la plupart des cas, mais aussi parfois cinq fiches BNC. Plus contemporain : la notion de « HDMI » désigne à la fois le connecteur et l'« interface multimédia haute définition ». La sortie MHL de certains smartphones par exemple transmet un signal HDMI (entre autres) au travers de connecteurs USB.
USB Type-C n'est pas USB 3.1
Pour en revenir à l'USB, le Type-C ne désigne que le connecteur. Il a certes été conçu conjointement à l'USB 3.1, et par le même USB 3.0 Promoter Group, mais de nombreux appareils à ports USB C seront seulement USB 3.0 voire USB 2.0 ou même USB 1.1. Un DAC audio par exemple n'a pas besoin de plus.
Le connecteur USB Type-C, de taille unique, succède aux trois tailles d'USB Type-A et Type-B (micro, mini et plein format). De taille comparable à un connecteur micro USB Type-A, l'USB C apporte donc un nivellement par le bas en termes d'encombrement. Il contribue ainsi à la conception d'ordinateurs portables ultrafins.
Il est aussi et surtout réversible : on peut le brancher indifféremment dans un sens ou dans l'autre. Il a en revanche toujours un genre, mâle ou femelle.
L'Alternate Mode, réservé à l'USB C
Le connecteur USB C comporte enfin plus de contacts, ce qui ouvre la voie à d'autres innovations.
L'USB 3.1 entraîne effectivement une hausse de débit, mais on peut bénéficier de la bande passante portée de 5 à 10 Gb/s avec de traditionnels connecteurs USB Type-A à 11 broches. La nouvelle norme USB Power Delivery 2.0 quant à elle, qui porte à 100 W l'électricité qu'on peut délivrer en USB, s'accommode elle aussi d'un connecteur USB A. Elle rend par ailleurs l'alimentation électrique bidirectionnelle : un transformateur peut alimenter un ordinateur portable et un ordinateur portable peut alimenter un périphérique externe au travers d'un même port.
Mais la dernière innovation, la plus significative, réclame des broches supplémentaires. L'USB Type-C apporte l'Alternate Mode, qui permet de réattribuer les broches des quatre canaux d'un connecteur pour établir toutes sortes de liaisons. Il rend la connectique USB réellement universelle. À date, la VESA a officialisé le DisplayPort Alternate Mode, qui permet donc de diffuser un signal audio-vidéo sur un câble à connecteurs USB C.
Le piège de l'USB 3.1 Gen 1
Relevons pour conclure un piège potentiel, celui de l'« USB 3.1 Gen 1 », qui bénéficie de toutes les innovations précitées, mais qui exploite le même protocole de transfert de données que l'USB 3.0, et plafonne à 5 Gb/s.
Le meilleur moyen d'identifier le débit sera de se référer à la terminologie suivante : SuperSpeed pour 5 Gb/s et SuperSpeedPlus pour l'USB 3.1 Gen 2 à 10 Gb/s.
Quoi qu'il en soit, l'USB reste fidèle au principe de rétrocompatibilité. Sur le plan logique on peut brancher un équipement USB 1.1 à une interface USB 3.1, mais sur le plan physique il faudra parfois utiliser des adaptateurs passifs pour passer de l'USB A à l'USB C. C'est néanmoins une première pour l'USB, créé il y a près de 20 ans (en 1996), et donc le début de la première phase transitoire de cette connectique, qui risque de s'étaler sur plusieurs années.
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La réalité virtuelle
On en parlait déjà en 2015. Les professionnels de la consommation doivent être "consumer centric" (centrés sur le consommateur). Mais cette année 2016 devrait être véritablement l’année de l’expérience utilisateur. Et sur ce point, la réalité virtuelle devient incontournable. "D’ici quelques années, on aura tous un casque et un mobile", annonce Selon Stanislas Chesnais, Fondateur et CEO de la start-up française 3DRudder qui développe un joystick particulier : il se contrôle avec les pieds ! Une tendance confirmée par Shawn DuBravac qui cite notamment les produits Ricoh Theta, Panono 360… Une technologie qui s’applique aussi bien dans l’univers du jeu que celui du commerce. La réalité virtuelle permet en effet à un client de mieux se projeter. Les professionnels de voyage et de l’immobilier commencent d’ailleurs à initier de nouvelles solutions 3D dans leurs agences.
Démonstration en vidéo de 3DRudder
On en parlait déjà en 2015. Les professionnels de la consommation doivent être "consumer centric" (centrés sur le consommateur). Mais cette année 2016 devrait être véritablement l’année de l’expérience utilisateur. Et sur ce point, la réalité virtuelle devient incontournable. "D’ici quelques années, on aura tous un casque et un mobile", annonce Selon Stanislas Chesnais, Fondateur et CEO de la start-up française 3DRudder qui développe un joystick particulier : il se contrôle avec les pieds ! Une tendance confirmée par Shawn DuBravac qui cite notamment les produits Ricoh Theta, Panono 360… Une technologie qui s’applique aussi bien dans l’univers du jeu que celui du commerce. La réalité virtuelle permet en effet à un client de mieux se projeter. Les professionnels de voyage et de l’immobilier commencent d’ailleurs à initier de nouvelles solutions 3D dans leurs agences.
Démonstration en vidéo de 3DRudder
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ULTRA HD - premier bilan
Voilà déjà plusieurs mois que les premiers titres UHD peuplent les présentoirs des spécialistes vidéo. Après avoir longtemps bavés devant les lecteurs et diffuseurs sans contenu à visionner voilà enfin la possibilité de tirer un premier bilan des tous premiers titres parus.
Trente titres déjà disponibles.
La promesse d'une définition dite 4K, procurant quatre fois plus de sensations visuelles est elle tenue.
En ce qui concerne la précision des contours on peut noter un gain qui reste modeste si les contrastes ne sont pas contrôlés correctement sur le diffuseur. Souvent marginal, voir incongru, vous ne pourrez pas flatter votre orgueil de ce côté là.
La netteté est souvent dopé de façon électronique (logiciel) en post -production au détriment d'un réel gain de définition.
Au lancement des premiers blu-ray 1080P je notais souvent un grain qui n'avait rien d'artistique. Pour l'UHD BD il en est de même. Plus de pixels, plus de grain...
LE HDR
Pas vraiment palpable sur écran vidéo, et ce quelque soit la taille de celui-ci. seuls les titres ayant eu une production et exploitation en salles (DOLBY CINEMA) marquent une réelle différence.
LA COLORIMETRIE
Le bilan reste mitigé, pas vraiment de quai faire un différence flagrante garantissant un spectacle hors normes.
Un résultat qui reste très, trop proche du blu-ray standard. Et plus encore si votre écran n'est pas HDR.
Finalement
L'expérience UHD n'est qu'à ses débuts. Les promesses sont encore pour le moment en attente de réalisation et de concrétisation.
Le meilleur reste donc à venir
Voilà déjà plusieurs mois que les premiers titres UHD peuplent les présentoirs des spécialistes vidéo. Après avoir longtemps bavés devant les lecteurs et diffuseurs sans contenu à visionner voilà enfin la possibilité de tirer un premier bilan des tous premiers titres parus.
Trente titres déjà disponibles.
La promesse d'une définition dite 4K, procurant quatre fois plus de sensations visuelles est elle tenue.
En ce qui concerne la précision des contours on peut noter un gain qui reste modeste si les contrastes ne sont pas contrôlés correctement sur le diffuseur. Souvent marginal, voir incongru, vous ne pourrez pas flatter votre orgueil de ce côté là.
La netteté est souvent dopé de façon électronique (logiciel) en post -production au détriment d'un réel gain de définition.
Au lancement des premiers blu-ray 1080P je notais souvent un grain qui n'avait rien d'artistique. Pour l'UHD BD il en est de même. Plus de pixels, plus de grain...
LE HDR
Pas vraiment palpable sur écran vidéo, et ce quelque soit la taille de celui-ci. seuls les titres ayant eu une production et exploitation en salles (DOLBY CINEMA) marquent une réelle différence.
LA COLORIMETRIE
Le bilan reste mitigé, pas vraiment de quai faire un différence flagrante garantissant un spectacle hors normes.
Un résultat qui reste très, trop proche du blu-ray standard. Et plus encore si votre écran n'est pas HDR.
Finalement
L'expérience UHD n'est qu'à ses débuts. Les promesses sont encore pour le moment en attente de réalisation et de concrétisation.
Le meilleur reste donc à venir
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Un monde à part, un monde d'excellence ! à 15900.00 euros
Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition
L'enceinte Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition est une série limitée de la fameuse Klipsch Klipschorn, mécaniquement identique mais visuellement spécifique. Le modèle anniversaire se distingue du modèle classique par une finition en noyer australien et une grille métallisée.
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Le registre grave est confié à un haut-parleur de 38 cm, chargé par un pavillon replié et capable de produire du grave jusqu'à 33 Hz. Entendons nous bien, le grave délivré par l'enceinte Klipsch Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition n'est en aucune manière comparable avec une autre enceinte ou caisson produisant les mêmes fréquences. Le grave est tendu comme un arc, sans aucun traînage. Il en va de même pour les fréquence médiums, confiées à un diaphragme de 5 cm à chambre de compression. Jouant de 450 Hz à 4500 Hz, ce transducteur est capable d'écarts de dynamique sidérants. Il est relayé par un second diaphragme de 2,5 cm de diamètre, qui reproduit l'aigu jusqu'à 17 kHz. Là encore, d'autres enceintes montent infiniment plus haut, mais sans être capables de produire la même énergie.
Capable de produire un niveau sonore de 105 dB à un mètre de distance, pour un Watt injecté, la Klipschorn doit être mariée avec un ou plusieurs amplificateurs haut de gamme. L'idéal est d'ailleurs d'utiliser des blocs de puissance pour alimenter les haut-parleurs de grave, et un amplificateur plus doux pour la section médium/aigu. La puissance admissible est de 100 Watts et le niveau sonore maximum de... 121 dB. De quoi avoir des frissons en écoute home-cinéma.
Dernier point, la Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition est une enceinte très volumineuse et nécessite d'être mise en œuvre dans une pièce de grand volume, telle qu'un salon ou une salle dédiée au home-cinéma. Son écoute reste toujours un grand moment musical.
Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition
L'enceinte Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition est une série limitée de la fameuse Klipsch Klipschorn, mécaniquement identique mais visuellement spécifique. Le modèle anniversaire se distingue du modèle classique par une finition en noyer australien et une grille métallisée.
Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition : le son live
Née en 1946, l'enceinte Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition demeure une référence en matière de Hi-Fi et de haut-rendement. C'est par elle que la marque américaine a acquis ses lettres de noblesse, en apportant au salon un son jusqu'alors seulement écoutable en direct. Comme le disait la réclame : "vous êtes au concert... à la maison". 65 ans plus tard, la Klipschorn continue d'étonner et la magie opère indiscutablement. Fabriquée entièrement à la main, cette enceinte d'exception n'a guère de rivale, tant d'un point de vue esthétique que musical...Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition : trois pavillons acoustiques
Sa formule acoustique est relativement simple : trois haut-parleurs puissants, pour autant de voies, tous chargés par des pavillons. L'emploi du pavillon permet de diminuer énormément l'excursion des membranes des haut-parleurs, et ainsi de minimiser la distorsion, tout en augmentant la sensibilité. Par ailleurs, les pavillons "portent" davantage le son et les pertes notamment dans les hautes fréquences sont infimes, contrairement à toutes les autres enceintes classiques.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le registre grave est confié à un haut-parleur de 38 cm, chargé par un pavillon replié et capable de produire du grave jusqu'à 33 Hz. Entendons nous bien, le grave délivré par l'enceinte Klipsch Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition n'est en aucune manière comparable avec une autre enceinte ou caisson produisant les mêmes fréquences. Le grave est tendu comme un arc, sans aucun traînage. Il en va de même pour les fréquence médiums, confiées à un diaphragme de 5 cm à chambre de compression. Jouant de 450 Hz à 4500 Hz, ce transducteur est capable d'écarts de dynamique sidérants. Il est relayé par un second diaphragme de 2,5 cm de diamètre, qui reproduit l'aigu jusqu'à 17 kHz. Là encore, d'autres enceintes montent infiniment plus haut, mais sans être capables de produire la même énergie.
Capable de produire un niveau sonore de 105 dB à un mètre de distance, pour un Watt injecté, la Klipschorn doit être mariée avec un ou plusieurs amplificateurs haut de gamme. L'idéal est d'ailleurs d'utiliser des blocs de puissance pour alimenter les haut-parleurs de grave, et un amplificateur plus doux pour la section médium/aigu. La puissance admissible est de 100 Watts et le niveau sonore maximum de... 121 dB. De quoi avoir des frissons en écoute home-cinéma.
Dernier point, la Klipsch Klipschorn 70th Anniversary Edition est une enceinte très volumineuse et nécessite d'être mise en œuvre dans une pièce de grand volume, telle qu'un salon ou une salle dédiée au home-cinéma. Son écoute reste toujours un grand moment musical.
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